Moi c'est Zella. Ne cherchez pas, vous n'en trouverez pas d'autre comme moi : je suis asociale, antipathique, bourrée de mauvaise foi, et je déteste les êtres vivants... enfin... à part Anubis, mon chat, que je tolère à peine. Je vis ma vie tranquillement jusqu'au jour où un bellâtre dénommé Aurel Colding vient y mettre un bazar monstre et me voilà propulsée dans une affaire qui m'échappe totalement, sur les traces d'un trésor qui me rendra la vie que j'ai perdue. Bien entendu, la légende de Phaeron Bonwell, dit le "Prime Blood", n'a aucun rapport avec ce qu'il m'arrive... N'est-ce pas ? "Impossible" me direz-vous ! Force est de le constater... impossible n'est pas Zella ! Eh m*rde !
Alors que j'avais déjà les deux premiers tomes en ma possession, j'ai préféré attendre d'avoir le troisième avant de me lancer à la découverte de Zella. Et, franchement, je pense que j'ai eu raison parce que lorsque je suis arrivée à la dernière page de ce premier volet, j'ai eu envie de poursuivre directement, mais, j'ai établi un programme de lecture, et, je m'y tiens. C'est compliquééééééé, mais je vais tenir, je vais tenir, je vais tenir, on fait comme on peut pour se convaincre 😋
Bref, et si je revenais sur ce premier tome ? Ce serait déjà pas mal, non ?
Pour moi, ce premier opus est une réussite complète.
Nous avons d'un côté Zella, une femme au caractère bien trempé, pour ne pas dire de m****, ayant un boulot un peu spécial, pas à la portée de tout le monde dirai-je, en effet, elle est thanatopractrice, avouez, ce n'est pas un boulot pour tout le monde ! Le seul être qu'elle supporte, c'est Anubis, son chat, et encore, pas tout le temps. En se réveillant, là voilà avec un trou de mémoire de plusieurs heures, nous sommes dimanche, son dernier souvenir remonte à vendredi soir. Que c'est-il donc passé durant ce laps de temps ? Tout ce dont elle se souvint, c'est de s'être rendue au bar près de chez elle afin de boire un ou deux cocktails. Chose étonnante, son chat semble différent avec elle.
D'un autre côté, nous avons Aurel, vampire depuis pas mal de temps, qui ne sait clairement pas sur quoi il est tombé ce fameux vendredi soir où Zella est entrée dans le bar qu'il gère. S'il l'avait su, peut-être aurait-il pris le temps de réfléchir un peu. Quoi que, la situation d'urgence à laquelle il a dû faire face ne lui laissait que peu de portes de sorties. Malgré tout, je ne peux que comprendre que cela va se compliquer un peu pour lui. Parce que bon, il faut quand même se la farcir la Zella ! Mais finalement, n'est-ce pas justement cette particularité chez elle qui va faire qu'il va justement l'apprécier autant que nous lecteurs ? La question mérite de se poser 😏
Sans vous en dévoiler plus sur l'intrigue en elle-même, j'ai juste envie d'ajouter ceci : non mais ca va pas bien Nanie Bai ? Sérieux ? Mais c'est quoi cette fin de tome sortie de nulle part ? Tu as grave de la chance d'habiter loin de moi, et surtout, que j'ai les deux autres tomes sous la main 😎
Bref, je vous parle bientôt de la suite 😅
» Premières lignes «
Cela fait trois fois que je démaquille mes yeux parce que je suis incapable de faire un trait d'eye liner correct sur ce fichu œil droit. C'est quand même un comble pour une femme comme moi, aussi douée pour grimer les autres, de ne pas réussir à me maquiller moi-même !!!
» L'auteur(e) «
Nanie Bai est née en 1982 dans le piémont pyrénéen. Issue d'une famille de lecteurs, elle est nourrie de fantasy et de science-fiction depuis toujours. C'est au cours de ses études d'infirmière qu'elle prend pour la première fois sa plume. A l'âge de 30 ans, l'histoire de Dunia naît. Maman de 3 enfants et elle-même friande de fantasy, Nanie démarre sa carrière d'auteure par les Chroniques de Dunia, en 4 tomes, publiées chez Studio5editions en 2021 et 2022. Elle se lance dans l'autoédition pour son roman feelgood: Un début d'éternité en 2022. La saga Blood voit le jour en juin 2022. Il s'agit d'une trilogie vampirique assortie de romance légère et addictive. Fin 2022 et début 2023, une duologie romance steampunk est publiée aux éditions Caméléon. Nanie Bai n'a pas de genre fétiche ni d'étiquette collée à la peau. Elle raconte "juste" les histoires que son imagination tricote sans arrêt !
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